Matisse comme un roman
Conférence virtuellepar Emilie Jean diplômée de l’école du Louvre et conférencière nationale
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« Pour le 150e anniversaire de sa naissance, l’exposition rend un vibrant hommage à celui qu’on surnomme le peintre du bonheur en réunissant 230 œuvres incontournables dont certaines n’avaient pas été vues dans la capitale depuis 50 ans »
www.arts-in-the-city.com
« Matisse, peintre du bonheur : c’est l’une des légendes les plus vraies qui soit », lançait, non sans malice, Aurélie Verdier, commissaire de l’exposition, lors de son inauguration le 20 octobre dernier. Et d’ajouter : son but a toujours été de « donner la joie ». Cette joie, dont il a fait profession avec l’une de ses toiles les plus iconiques, La Joie de vivre ou Le Bonheur de vivre (1905-1906), ne la voit-on pas, en effet, se répandre dans toute son œuvre »
www.eventail.be
« L’exposition raconte donc, en neuf chapitres la façon dont la littérature agit comme un terreau créatif pour le peintre. Cette exposition, c’est sa vie, racontée comme un roman. De ses débuts en 1890 aux années 1950, chaque période de sa vie est coupée par un interlude littéraire, nous rappelant ainsi l’origine de certaines œuvres, ses liens avec de grands auteurs, à l’instar de Mallarmé, dont les poèmes furent illustrés par Matisse, ou encore de Louis Aragon, auteur d’Henri Matisse, roman ».
www.sortiraparis.com
« Peinture, dessin, gravure, sculpture, Matisse n’a de cesse ensuite au fil des ans d’affirmer par toutes les techniques dont il dispose sa personnalité artistique sans hésiter à se renouveler, à poursuivre une exploration riche de découvertes et d’innovations. Matisse traverse les styles et les tendances de l’époque (néo-impressionnisme, fauvisme, cubisme, peinture décorative…) en modelant son style propre, jamais figé, toujours inventif. »
www.lagoradesarts.fr
« (…)Un accrochage certes tout en retenue, dans une sobriété rigoureuse, qui laisse pleinement chanter les toiles d’un artiste qui avait à cœur de « guérir » les autres avec son art, lui qui confiait ses œuvres à ses amis malades en espérant qu’elles les soulagent un peu. Un optimiste sans âge dont Louis Aragon aimait dire qu’il était un « cadeau pour notre monde malade ». Rien n’a jamais été aussi vrai. »
www.arts-in-the-city.com
(NOTA : Retrouvez 10 œuvres de l’exposition commentées par Aurélie Verdier, commissaire de l’exposition, avant de pouvoir nous promener autour des 230 œuvres et 70 documents et archives présentés)
https://www.youtube.com/watch?v=uLOQIIxnVsI
BIBLIO